Vivre pour manger ?
Vivre pour manger ou manger pour vivre ! tel est le dilemme « philosophique » dans la bouche de la mondanité.
À partir de la préoccupation motivée par le surpoids et la suralimentation, cette expression « Vivre pour manger ou manger pour vivre » est “vocalisée » ; plus pour chercher un réconfort qu’une solution, ou une réponse à un doute existentiel qui émerge dans les moments de réflexion profonde ; mais elle est contemplée superficiellement.
Quoi qu’on en dise, quelle que soit la réponse ou l’affirmation que l’on donne, la grande majorité des mortels vivent pour manger, car la nourriture et la boisson sont devenues une distraction, un plaisir et un anxiolytique, parce que les personnes sont déconnectées du plaisir de vivre suivant la magie de la vie. Magie, pleine de hauts et de bas, comme la vie elle-même, mais contemplant les vicissitudes de l’existence à partir d’un sentiment sans peur d’une vie transcendantale.
Vivre depuis le ressenti, loin des traditions et des coutumes imposées, ayant l’âme nourrie et soignée par l’Univers, la motivation de manger pour le plaisir est réduite au minimum. Ce n’est que par nécessité que l’on ingère la nourriture « sacrée » offerte de manière désintéressée par la Terre Mère.
Dans l’Antiquité, la nourriture était rare et les gens vivaient, dit-on, pour survivre.
Aujourd’hui, la nourriture est abondante, mais elle est mal distribuée à cause d’intérêts cachés… Malheureusement, « la souffrance du plus grand nombre fait la joie de quelques-uns ».
On ne peut pas tromper l’esprit-mental, mais oui vivre sans en dépendre, en le transcendant.
Dans mes trois livres précédents, je parle de l’évolution de l’alimentation. Il s’agit de vivre en connexion avec l’Univers pour rééquilibrer le corps et l’esprit-mental.
Un câlin depuis ma retraite permanente, jusqu’à ….
Alain Tello Robledo